Comment se faire des amis de Dale CARNEGIE
- Dy LESFO
- 6 juil. 2021
- 25 min de lecture
Dernière mise à jour : 20 mai 2022
Je vous présente Comment se faire des amis de Dale CARNEGIE.
Je pense que tout le monde devrait lire ce livre au moins une fois dans sa vie. Ne vous fiez pas au titre qui pour moi devrait être : Comment mieux vivre en société. Ce bouquin fourmille de qualités, de bons conseils pour mieux vivre et faire face aux situations de la vie. Je l’ai déjà conseillé à plusieurs personnes de mon entourage; ils ont adoré. Je vous promets que vous ne serez pas déçu.
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Thème 1 : Raconte-moi une histoire.
« Les études et les recherches, effectuées il y a quelques années à la demande de la Fondation Carnegie, ont révélé un fait extrêmement important : même dans les professions scientifiques comme celle d’ingénieur, la réussite est due pour 15 % environ aux connaissances techniques et pour 85 % à la personnalité, à l’habileté dans les rapports humains, à la faculté de susciter l’enthousiasme chez les autres.»
Carnegie, Dale. Comment se faire des amis (Psychologie et Développement personnel t. 508) (French Edition) . Le Livre de Poche. Édition du Kindle.
C’est un extrait intéressant car lorsqu’on voit un leader ou une connaissance très charismatique, nous sommes capables de le suivre sans sourciller en pensant que tout ce que cette personne dit est vrai, et nous nous laissons charmer par : ses arguments, son savoir, son charisme, sa manière de s’habiller, ses mouvements. Mais cela peut être très dangereux comme vous le savez.
Alors la question qu’on a envie de se poser c’est : « Est-ce que le succès est seulement dû en grande partie à la personnalité, l’habilité des rapports humains et rien d’autre ? Qu’en est-il de l’expérience personnelle ? Je pense qu’il ne faut pas oublier l’expérience personnelle, qui pour moi est un élément très important.
Voici mon avis concernant cette longue question.
L’expérience personnelle permet d’avoir la connaissance nécessaire pour pouvoir empêcher à celui qui l’écoute de faire les mêmes erreurs, puis la technique vient. Nous adorons tous ces expériences vécues par d’autres et qui restent gravées dans notre mémoire. Cette mémoire nous permet d’éviter des pièges et ainsi nous diriger vers plus rapidement vers nos objectifs. C’est ce qui fait un bon leader, ce sont les expériences personnelles qu’il a vécues, ce sera plus facile à raconter pour lui, car elles sont gravées dans sa chair (sauf si vous êtes un acteur) et pour nous plus simple à comprendre. La plupart des coachs ont une histoire à raconter et nous on aime les histoires, surtout si elles sont véridiques.
Afin d'étayer mes propos concernant les histoires voici l'extrait d'un formidable ouvrage "12 règles pour une vie : un antidote au chaos de Jordan B PETERSON", qu'il faut lui aussi lire une fois dans sa vie. En lisant ce livre vous comprendrez mieux l'être humain, donc vous-même et vous vous sentirez meilleur qu'hier. (je suis actuellement en train de le finir et je consacrerai de futurs articles le concernant) :
«Un bon conférencier ne se contente pas de livrer des faits, ce qui est sans doute la partie la moins importante d’une conférence. Il raconte également des histoires à propos de ces faits, les plaçant au bon niveau de compréhension du public en fonction de l’intérêt qu’il manifeste. Au travers des histoires qu’il raconte, il communique non seulement les faits, mais aussi pourquoi ils sont pertinents, pourquoi il est important de savoir certaines choses que les auditeurs ignorent. Pour faire la démonstration de l’importance de certains ensembles de faits, il suffit d’expliquer aux membres du public en quoi de telles connaissances pourraient modifier leur comportement, ou influencer leur façon d’interpréter la réalité, de sorte qu’ils puissent éviter certains obstacles et atteindre plus rapidement de meilleurs objectifs.»
Peterson, Jordan b.. 12 règles pour une vie (French Edition) (p. 346). Michel Lafon. Édition du Kindle.
Et pour conclure, si vous souhaitez devenir un coach et que vous alliez connaissances techniques, expériences personnelles et l’habilité dans les rapports humains, vous êtes sur la bonne voie.
Et voilà, un article court mais que je trouve intéressant. Merci de l’avoir lu et à bientôt.
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Thème 2 : Pourquoi est-il important de comprendre et s’entendre avec nos semblables ?
« L’enquête révéla que la santé est la préoccupation dominante des hommes. Ce qui, ensuite, les intéresse le plus, ce sont leurs rapports avec les autres : la manière de les comprendre et de s’entendre avec eux, de gagner leur sympathie, de les influencer. »
Carnegie, Dale. Comment se faire des amis (Psychologie et Développement personnel t. 508) (French Edition) . Le Livre de Poche. Édition du Kindle.
Il n’y a pas si longtemps, je disais à un proche que nous sommes des êtres sociaux. Nous ne pouvons pas vivre seuls, du moins à quelques rares exceptions. Je pense que nous avons besoin d’être et de communiquer avec nos semblables. Ce qui fait qu’à partir du moment où on nous met à l’écart on le vit mal.
Je n’ai pas tous les détails en tête, mais il y a quelques années de cela, je regardais un documentaire où on nous racontait comment était sanctionné un individu pour ses fautes dans le passé. Dans cette tribu, il y avait une punition réservée à ceux qui avaient tué ou avaient commis plusieurs délits dans le groupe. Suite au conseil, le fautif était exclu, mais pas pour un laps de temps limité, mais à vie.
Ce qui se passait c'est que la personne qui avait été chassée, se mettait à suivre le groupe au loin, puisqu'il n'avait plus le droit de revenir au sein de sa tribu. Bien qu’il y avait des membres du groupe qui l'aidait en lui emmenant à manger, comme elle ne pouvait plus faire partie de cette communauté, à un moment donné, le délinquant mourrait, parce qu’il était exclu du groupe, mais ne pouvait plus échanger comme d'habitude avec ses congénères.
On peut se dire : « Ah oui mais punition ou on nous exclut ça va, il n’y a pas mort d’homme ! » Le souci, c’est que nous n’avons pas l'habitude de vivre seul, l'être humain est un être qui a besoin des autres et cela ne m'étonne pas. Lorsque Dale nous dit que les gens cherchent à comprendre et s’entendre avec les autres, je pourrais même dire que l’on cherche dans la plupart des cas à savoir comment créer de bonnes relations avec les autres ?
Mais avant de répondre à cette question, qui est de savoir : Comment créer de bonnes relations avec les autres ? Il faut tout d’abord apprendre à se connaître. Si vous ne connaissez pas, vous n'allez pas pouvoir justement améliorez vos relations avec les autres. C’est en vous connaissant que vos relations vont devenir meilleures, car vous allez comprendre que nous ne sommes pas si différents des uns des autres. En effet, on peut avoir un type de personnalité qui domine, mais qui sera accompagné d’un autre. Ce qui veut dire que nous avons un point commun avec une personne qui peut aux premiers abords nous paraitre totalement différents de nous. Pour chaque type de personnalité, il y a des qualités et des défauts.
Lorsque nous comprenons notre type de personnalité et celle des autres, on peut mieux interagir avec les autres, et comprendre pourquoi on s’entend plus ou moins. Ainsi, vous pourrez mieux comprendre la perception du monde pour vous tout d’abord et pour les autres ensuite et donc, améliorer votre relation avec autrui. De plus, nous avons en nous le besoin de devenir intéressant, voir important aux yeux des autres ; afin nous améliorer au sein de notre cercle professionnel, familial ou autre… Je ne sais plus dans quel ouvrage on parle de ce besoin de devenir important par rapport à nos pairs, mais ce qui est sûr, c’est que j’en parlerai plus en détail sur ce site, dans un des futurs livres à venir.
Pour finir, j’ai un très bon livre que je pourrais vous recommander pour comprendre comment communiquer et s’entendre avec les autres. Il part du principe que la plupart de nos problèmes sont liés un des soucis de communication. Je ne sais pas si je vais en parler dans ce site, on verra. Cet ouvrage se nomme « Comment leur dire... : la process communication de Gérard Collignon. »
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Thème 3 : De quelle manière brillez-vous ?
«Presque tous ces besoins sont généralement satisfaits, mais il en est un qui est rarement contenté ; et, pourtant, il est aussi profond, aussi impérieux que la faim. Cette aspiration, c’est ce que Freud appelle « le désir d’être reconnu ». C’est ce que John Dewey appelle « le désir d’être important. »
Carnegie, Dale. Comment se faire des amis (Psychologie et Développement personnel t. 508) (French Edition) . Le Livre de Poche. Édition du Kindle.
Dernièrement, je parlais avec une amie et je lui disais que l’être humain est un être social, on ne peut pas vivre seul, peu importe l’endroit où nous nous trouvons, on ne peut pas rester seul. Nous avons tous en nous, un besoin d’être apprécié, voir « briller », au moins aux yeux d'une personne dans notre milieu familial, amical, personnel ou professionnel. Peu importe l'âge que nous avons, l’important c’est de se faire remarquer afin d’avoir certes, une reconnaissance sociale, mais, et surtout, d’ « exister » car ça nous fait du bien.
Bien sûr, comme vous le savez, il est préférable de viser le positif que le négatif. Malheureusement, nous n’avons pas parfois assez de discernement ou les capacités de comprendre la notion de briller en faisant du bien aux autres et à soi, pour certains l’essentiel c’est de rayonner sans faire attention à ses actions. En effet, dans ce livre Dale parle d’un délinquant qui pour lui le fait d’être hors la loi lui permettait de resplendir comme les stars des médias, car comme elles, on parlait de lui…
Alors, on peut se demander comment doit-on briller ? Déjà, est-ce que tout le monde souhaite brillait ?
Je connais des gens qui me disent : « J’aime le fait que je sois discret aux yeux des autres. » Néanmoins, et sans vouloir dire que j’ai raison, il n’y aurait-il pas une petite étincelle en eux qui refuse de disparaitre et qui voudrait briller comme ses semblables, comme le suggère Maslow avec sa pyramide ? Personnellement, je pense que oui, il leur manque juste l’essence pour déclencher le « feu » en eux. Ce feu qui déclenchera d’autres évènements dans leur vie ou ils ne seront plus pareils, à jamais…
Mais alors mes chers lecteurs, ou pourraient-ils trouver cette essence ? A mon avis, on essayant, en tâtonnant, en allant vers des situations sans presque pas de risque pour eux et les autres. Je vais vous expliquer qu’est-ce qui a été mon essence personnelle. Lorsque j’étais jeune, j’étais très timide. J’ai été pendant une longue période au chômage et j’avais beaucoup mal à comprendre que malgré toutes mes démarches, je restais sans emploi. Un jour j’en ai eu assez, et lorsque je me suis rendu dans l’agence d’emploi, je me suis dit qu’il fallait que j’arrête avec ma timidité et que je prendre le taureau par les cornes et que je me vende ! Et c’est ce que j’ai fait. Depuis ce jour-là, je vous le promets, si je veux avoir quoi que ce soit, et que vous détenez, et que cet élément m’est indispensable, je peux vous garantir, que lorsque je viendrai vous le demandez ou l’achetez, à 99 pourcent du temps, je l’aurai. Je sais que ce n’est pas très humble de dire ça, mais c’est juste une vérité. Ce changement d’état d’esprit m’a permis d’ouvrir plusieurs champs de mes possibilités. Donc, voilà une des raisons pour laquelle à certains moments il faut briller.
En conclusion, peu importe votre âge, Briller ! Non seulement pour vous, mais aussi pour les autres qui sont autour de vous, ainsi, grâce à votre lumière, à leur tour, ils deviendront des étoiles.
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Thème 4 : Il faut savoir raison garder.

(Je me suis permis d’utiliser cette expression afin de faire un jeu de mot avec le sujet que je vais aborder juste en dessous). Bonne lecture !
« Certains psychiatres assurent que des gens deviennent fous pour trouver dans le monde imaginaire de la démence le sentiment d’importance que la réalité leur a refusé. Dans les hôpitaux d’Amérique, on a observé que les affections mentales sont plus nombreuses que toutes les autres maladies réunies. »
Carnegie, Dale. Comment se faire des amis (Psychologie et Développement personnel t. 508) (French Edition) . Le Livre de Poche. Édition du Kindle.
Dans cet extrait Dale nous parle de la démence. Il nous fait observer par des faits scientifiques pourquoi certaines personnes se retrouvent dans cette situation. Dans l’article précédent, je vous parlais du besoin de briller que nous avons en chacun de nous. Malheureusement, cette nécessité dans le cas ou elle ne serait pas satisfaite ou nous n’aurions pas trouvé la manière de la satisfaire, pourrait engendrer chez certains êtres humains de la démence.
En effet, qui ne sait jamais dit : « Moi, je mérite autant que lui ! » Malheureusement le fait de dire cela, ne me dérange pas, même peut-être une très bonne chose. Cependant, quand certaines personnes ne font rien ou ont du mal à parvenir à réaliser leurs objectifs comme l’exemple auquel on se compare, cela peut créer des troubles psychologiques.
« Cependant, il reconnut avoir observé un grand nombre de malades qui avaient désespérément cherché dans la démence les satisfactions d’amour-propre qu’ils n’avaient pas pu se procurer dans la vie normale. »
Carnegie, Dale. Comment se faire des amis (Psychologie et Développement personnel t. 508) (French Edition) . Le Livre de Poche. Édition du Kindle.
Donc, en voulant rechercher l’importance dans la vie de tous les jours, des personnes peuvent créer un monde parallèle. C’est une bonne chose lorsque vous êtes un artiste, un entrepreneur ou tout simplement vous envisager une vie future autre, que celle que vous vivez actuellement. Mais malheureusement, certaines personnes n’arrivent plus à différencier la réalité par rapport à leur imaginaire. Un des exemples dont Dale nous parle dans le livre c’est celui d’une femme qui a vécu un mariage difficile et qui ruina totalement ce qu’elle espérait de la vie. Suite à cela elle est devenue folle et dit qu’elle est mariée à un Lord anglais, qu’il faut l’appeler Lady Smith et donnait naissance à un enfant chaque nuit. Je me permets de vous rajouter un extrait afin de mieux comprendre ce qui s’est passé avec cette dame :
« ... Sur les brisants de sa réalité, la vie avait fracassé le vaisseau de ses rêves. Mais, dans les îles ensoleillées et féeriques de sa folie, toutes les barques parviennent heureusement au port, voiles claquantes et le vent chantant dans la mâture !... »
Carnegie, Dale. Comment se faire des amis (Psychologie et Développement personnel t. 508) (French Edition) . Le Livre de Poche. Édition du Kindle.
Alors quelle leçon de vie peut-on essayer de retirer de ce que Dale nous montre. On pourrait dire ceci : « Peu importe vos choix ou vos projets de vie, restez toujours connectés à la réalité, car elle vous rattrapera tôt ou tard. » Comme on aime le dire essayez de : « Gardez les pieds sur terre et la tête dans les étoiles. »
Une des choses que j’ai appris de la vie, peu importe ce que vous faites, elle fera comme elle veut, avec ou sans votre consentement. Comme en dit en créole : « Ki to lé ki to pa lé, to bligé pryan. » (Traduction : que tu le veuilles ou non, tu es obligé de faire avec). Pour moi, c’est la meilleure des choses à faire et pour finir Kobe Bryant disait embrasser (ou enlacer) la vie.
J’espère que cet article vous a plu et je vous dis à une prochaine.
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Thème 5 : Le pouvoir de l’enthousiasme !

« Je considère, disait Schwab, mon pouvoir d’éveiller l’enthousiasme chez les hommes comme mon capital le plus précieux. C’est en encourageant l’individu qu’on révèle et qu’on développe ses meilleurs dons. »
Carnegie, Dale. Comment se faire des amis (Psychologie et Développement personnel t. 508) (French Edition) . Le Livre de Poche. Édition du Kindle.
Lorsque j’étais à l’université, deux étudiantes et moi-même avions formé un petit groupe de travail. Hormis la bonne entente qui y régnait. Nous avions appris à faire avec nos qualités lorsqu’il fallait travailler à plusieurs.
(Juste une petite information avant que je continue ; Comme je n’ai pas l’autorisation de ces anciennes étudiantes pour écrire au moins leur prénom, je vais mettre la première lettre de leur prénom.)
Donc, je reprends, nous avions remarqué nos qualités. Et ses atouts ont permis que ce petit groupe de trois personnes arrivent à avoir leur Master.
Mais avant de parler de nos qualités nous avions, on va dire « tacitement » établis des règles :
-Se réunir le plus rapidement possible afin de parler du sujet, et de comment nous allions procéder pour traiter le devoir demandé par l’enseignant(e) ?
-On s’écoutait et on débattait s’il y avait un désaccord.
-Lorsque l’on dit que l’on fait quelque chose, on le fait.
-On se séparait les tâches.
-On se donnait un temps donné pour réaliser nos travaux avant de se revoir. Ce qui nous obligeait à être sérieux.
-Puis dans la mesure du possible, on se revoyait pour la finalisation du travail. Si ce n’était pas possible, en travaillait chacun de son côté et on communiquait par internet.
Tout ce que je viens d’écrire n’est pas exhaustif, mais ce sont d’après moi les grandes lignes. Si vous êtes jeunes ou moins jeunes et que vous devez faire une tâche collective (pas forcément à l’université) essayez, rajoutez votre (vos) grain(s) de sel et ça devrait fonctionner.
Pour être franc avec vous mes chers lecteurs, hormis les rares fois ou j’ai été amené à faire un exposé au collège, je n’avais quasiment jamais travaillé en groupe. Et c’était pour moi un grand plaisir et parfois stressant d’être « interdépendant. » On peut même se demander si l’interdépendance, ne serait pas un des éléments du mieux vivre ensemble, donc de fraternité ? Et justement à la date ou j’écris ces lignes on parle beaucoup de fraternité en France… Je vais quand même rester dans mon sujet afin de ne pas m’éloigner de mon article...
Donc, revenons à nos moutons. Il avait ces règles, mais nous avions pour moi deux éléments qui allaient nous aider à travailler en groupe et ainsi être plus efficace. Je vais arrêter de faire durer le suspens, Le premier élément était tout simplement une de nos qualités. Hé oui, nous avions chacun une qualité qui permettait que peu importe le travail demandé, nous pouvions l’exécuter.
Voici ces grandes qualités pour chaque personne de ce petit groupe :
G était celle qui savait écrire et formuler des phrases qui étaient comme du miel quand vous les entendiez.
C pouvait quant à elle schématiser et structurer un volume d’informations conséquent. C’était comme un super ordinateur à qui vous donniez différentes informations concernant le même thème et qui arrivait très « facilement » à les mettre dans l’ordre.
DY (moi) qui a la capacité de faire des recherches et trouver des articles intéressants sur un sujet précis.
En gros, on pouvait dire que Dy fait les recherches, C structure, G retranscrit.
Donc, voilà pour le premier élément qui pour moi engendrait en partie le deuxième. Il y avait une sorte d’enthousiasme réciproque qui était généré dans ce groupe. Ce qui faisait que l’on se respectait et respectait les autres membres. S’il y avait une quelconque difficulté les autres étaient là et on s’encourageait mutuellement.
Pour conclure, je dirai que chaque personne de ce groupe avait la capacité de créer l’enthousiasme (nous l’avons toujours) chez les autres, car nos qualités cités précédemment ont été mises en avant pour un objectif commun et c’est ce qui à déclencher cette émotion commune qu’on se « renvoyait » à l’infini, ce qui nous a permis d’atteindre notre but, c’est-à-dire notre diplôme.
J’espère que vous avez aimé cet article (mettez-moi un petit cœur si c’est le cas) et je vous dis A+
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Thème 6 : L’importance d’être bien entouré dans la vie.

« Ici repose un homme qui sut s’entourer d’êtres plus intelligents que lui. »
Carnegie, Dale. Comment se faire des amis (Psychologie et Développement personnel t. 508) (French Edition) . Le Livre de Poche. Édition du Kindle.
Cet extrait tombe à pic, car on reste dans la continuité de l’article précédent. Alors pourquoi ai-je gardé cet extrait ? Car je pense sans trop me tromper que ma vie professionnelle a été guidée par ce principe. Mais avant de continuer, je vous mets dans le contexte de cette phrase. Celle-ci a été dite par Andrew CARNEGIE qui écrivit avant sa mort sa propre épitaphe (l’extrait ci-dessus). Il avait compris qu’il fallait mieux féliciter ses collègues pour qu’il puisse en retirer leur meilleur potentiel au travail.
Cet exemple fut suivi par Charles SCHWAB qui était l’un des premiers aux États-Unis à percevoir un salaire annuel d’un million de dollars. Pas parce qu’il était un génie et maîtrisait parfaitement son métier mieux que ses collègues, mais parce qu’il avait un talent que peu de personnes possède ; celui d’influencer les autres en éveillant l’enthousiasme chez les hommes. Il en avait pris conscience, car il disait que beaucoup de ses collaborateurs était plus intelligents que lui. Ainsi, il encourageait ses collègues et les aidait à mieux développer leurs dons au sein de l’entreprise.
Je n’ai jamais été un bon élève (hormis au primaire), plus je grandissais et plus je comprenais qu’il fallait très rapidement que je me fasse « accompagné » dans mon cursus scolaire, et dès la cinquième, je pense sans le faire exprès, à cette époque je me rapprochais des gens qui pouvaient m’aider. Par exemple, j’avais un très bon ami que j’appréciais énormément qui excellait en maths. Comme vous l’avez compris, ce n’était pas mon domaine de prédilection. A chaque fois que je le pouvais, je le contactais par téléphone ou je passais chez lui afin qu’il puisse m’expliquer, ce que je devais faire et donc ce que je n’avais pas compris. Au lycée, c’était la même chose avec un autre ami, ainsi qu’à l’université que j’ai commencé tardivement où dès le départ, j’avais compris qu’il me faillait de l’aide mais pas dans une, mais dans plusieurs matières.
Ce qui fait que même dans ma vie personnelle, comme je le dis souvent. Je ne fais quasiment rien seul, il y a toujours quelqu’un qui participe ou qui m’aide à réaliser mes projets. J’en parle aussi dans l’un des articles concernant Elisabeth GILBERT (dans son livre Comme par magie) pendant la création de mon premier roman. Et pour être franc avec vous, j’ai aussi compris qu’on ne peut pas être bon partout. Dans l’une des vidéos de Sudehy (c’est un coach) il en parle mieux que moi.
En conclusion, je pense qu’il faut partager ses qualités avec les autres, c’est pour moi l’une des manières de réussir différents projets dans la vie. Un autre exemple, bien que je suis pour l’instant seul à réaliser ce blog, mais je sais pertinemment que ça ne va pas durer et que je vais à un moment donné m’entourer d’autres personnes. Et pour finir je rajouterai que même à votre naissance vous avez eu besoin de l’aide de quelqu’un, alors, ne vous en privez pas.
Comme d’habitude, je prends un énorme plaisir à écrire ces articles et si vous avez apprécié laissez-moi un petit commentaire. A une prochaine !
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Thème 7 : Soyez congruent, sinon…

«… Le philosophe Emerson disait : « Ce que vous êtes parle plus haut que ce que vous dites » ; c’est-à-dire : choisissez le langage qu’il vous plaira, vous ne pourrez jamais l’empêcher de révéler votre vraie nature. »
Carnegie, Dale. Comment se faire des amis (Psychologie et Développement personnel t. 508) (French Edition) . Le Livre de Poche. Édition du Kindle.
Vous pouvez avoir les plus beaux discours du monde, mais si vos actions montrent le contraire de vos mots. Vous ne serez jamais crédible aux yeux de vos interlocuteurs.
J’avais un enseignant qui dès le premier jour, nous avait dit que nous devions être congruents afin que son cours se déroule correctement. Mais avant de continuer je vais vous épargner mes chers lecteurs d’aller faire une recherche sur internet, afin de vous expliquer ce que veut dire le mot congruent pour ceux qui ne le connaissent pas.
Voici selon le dictionnaire Larousse la définition du mot congruent :
congruent, congruente
adjectif
(latin congruens, -entis, qui s'accorde)
1. Littéraire. Qui est en rapport, assorti avec quelque chose.
2. Se dit d'une articulation qui a une bonne congruence.
Donc revenons à cet enseignant qui voulait que ces élèves soient congruents. Malheureusement, la personne (l’enseignant) qui nous demandait d’avoir ce trait de caractère ne l’avait pas. En effet, il n’était pas souvent à l’heure, ses cours étaient confus et il remettait nos devoirs avec beaucoup de retards.
Néanmoins, je pense qu’il est parfois difficile de ne pas trop parler lorsque l’on a des personnes qui nous écoutent et que nous sommes le centre de l’attention, et nous pouvons avoir tendance à exagérer nos propos, on pourrait appeler cela : « l’effet politique ». C’est-à-dire, à mon sens, dire aux gens ce qu’ils veulent entendre. D’après mes observations, je vois que ça fonctionne bien, et cela depuis beaucoup d’années… Est-ce que ça voudrait dire que nous aimons ça ? Malheureusement, je n’ai pas les compétences pour analyser ce phénomène, peut-être qu’il faudrait interroger un psychologue afin de pouvoir étudier ce sujet ? Ce serait intéressant de voir qu’un politicien se mette à dire la vérité au peuple, afin de savoir s’il serait élu ? (Peut-être que c’est déjà arrivé ?)
Pour conclure, j’ai remarqué que plus vous faites preuve de cohérence entre vos actes et vos paroles, plus vous êtes crédible aux yeux des autres et cela peu importe le domaine : amical, professionnel ou familial. Ainsi, vous gagnerez deux éléments importants dans la vie, à savoir : le respect et la confiance.
Et voilà pour cet article, see you !
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Thème 8 : Le savoir est en tout Homme et toute chose sur terre.

Emerson disait : « Tout homme m’est supérieur en quelque manière et je m’instruis auprès de lui. »
Carnegie, Dale. Comment se faire des amis (Psychologie et Développement personnel t. 508) (French Edition) . Le Livre de Poche. Édition du Kindle.
J’en parlais dans un article précédent, on apprend toujours d’autrui. Lorsque j’écris mes romans, il n’est pas rare que le comportement des personnages me vienne de personnes qui existent réellement. Mais afin de ne pas avoir de problèmes (comme l’explique Stephen KING dans Ecriture : Mémoires d'un métier) avec qui que ce soit, je change leur morphologie. Lorsque je suis invité dans un diner ou autres je regarde les gestes et j’écoute avec beaucoup d’attention les autres invités.
Un jour l’un d’eux m’a demandé est-ce qu’il m’est déjà arrivé de mettre l’une de mes connaissances dans un de mes livres ? Je lui répondis que oui et je l’ai déjà fait plusieurs fois. Cette personne fit un silence en réfléchissant et s’exclama avec une joie légèrement perturbée : « Ça veut dire que nous pourrions y être aussi ?! » Je répondis : « exactement ! » Et comme j’ai un côté taquin j’ai rajouté : « Peut-être que certains d’entre vous sont déjà dans mes livres ou feront partie des prochains… »
Je ne sais pas si c’était ma réponse, ou peut-être attendait-elle une autre réponse, mais cette personne changea vite de conversation.
Je viens de parler des personnages de mes livres. Mais revenons à ce que ce monsieur Emilson a dit : « Tout homme m’est supérieur en quelque manière et je m’instruis auprès de lui. »
Le fait de dire que tout homme m’est supérieur en quelque manière, me chiffonne un peu. Mais peut-être que je le prends trop au sens littéral. Et si l’auteur de cette phrase était là, il pourrait nous en dire un peu plus, sur sa manière de penser et de voir les choses. Pour moi, j’aurais complété ce qu’il vient de dire avec : « Le savoir est en tout Homme et toute chose sur terre. »
Concernant le savoir en toute chose, par exemple on peut se l’approprier dans la nature avec le biomimétisme. Alors qu’est-ce le Biomimétisme ? Selon le dictionnaire Larousse:
nom masculin
Démarche d’innovation durable qui consiste à transférer et à adapter à l’espèce humaine les solutions déjà élaborées par la nature (faune, flore, etc.). [La fermeture contact (ou scratch) a été créée par biomimétisme sur le modèle du fruit de la bardane.]
Je donne deux exemples de biomimétisme dans le premier article : Le moustique et le requin pour le livre l’Alchimiste de Paulo CEOLHO.
Concernant le savoir chez l’Homme, il me semble que c’est un puits infini ; selon le lieu, la culture, le comportement, etc… On est bombardé d’informations, de plus comme pour la nature, il évolue constamment. Je peux même dire qu’il n’y a pas meilleur enseignant qu’autrui. Après, comme vous le savez tout n’est pas vertueux chez l’homme, à vous de faire vos choix en prenant le meilleur en chacun de nous.
Voilà, voilà, merci pour votre attention et à une prochaine !
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Thème 9 : Pourquoi devriez-vous vous intéresser sincèrement aux autres ?

« Vous vous ferez plus d’amis en deux mois en vous intéressant sincèrement aux autres que vous ne pourriez en conquérir en deux ans en vous efforçant d’amener les autres à s’intéresser à vous. »
Carnegie, Dale. Comment se faire des amis (Psychologie et Développement personnel t. 508) (French Edition) . Le Livre de Poche. Édition du Kindle.
Parfois on me demande comment tu fais ? Tu as toujours quelque chose à dire… Bien, dans un premier temps ce n’est pas tout le temps vrai. Mais si cela vous intéresse, je vais vous expliquer comment faire pour ne pas vous ennuyer dans lorsque vous êtes par exemple invité quelque part ? Cette méthode à certaines limites :
-Votre manière d’aborder les gens
-Votre tenu, quand je dis tenu ce n’est pas forcément votre vêtement c’est plutôt votre manière d’être.
-La personne à qui vous vous adressez. En effet homme ou femme, si cette personne n’a pas envie de parler pour quelconque raison, elle ne parlera pas, tout simplement.
Alors, quelle est cette méga technique ?
Il faut écouter les autres et être vous-même, ne feintez rien, cela se verra tôt ou tard. La plupart des gens aiment parler. Mais parler de quoi ? Me direz-vous. Hé ben, d’eux. Nous adorons parler de nous-mêmes. Et c’est là, l’astuce.
Afin de vous donner un exemple concret, imaginons que l’on vous invite dans un mariage où la plupart des gens se connaissent et vous êtes à une table où vous ne connaissez personne. Regarder les gens qui sont les plus proches de vous et regardez leur tête. Ou plutôt leur expression du visage, oui c’est important car si votre voisin de gauche, de droite ou d’en face n’a pas un air amical. Pourquoi irez-vous discuter avec lui ? Néanmoins, ce que je vais vous dire pourrais aussi fonctionner avec cette personne. Mais bon, allez vers quelqu’un qui est plus souriant, votre objectif sera plus facile.
Continuons, vous allez discrètement inspecter cette personne de la tête au pied si possible. N’oubliez pas subtilement, un peu comme un aigle qui se trouve très en hauteur et qui fait semblant de ne pas avoir vu le lapin qui se promène gaiement… Imaginons que cette personne à une montre au poignet (ou un autre élément) faite lui un compliment sincère sur ça montre. Puis demandez-lui où est-ce qu’elle l’a achetée, et surtout, ne mentez pas en disant que vous souhaitez achetez la même ou quelque chose de ce genre. Si vous vous y connaissez en montre parlez-lui d’endroits ou de choses en relation avec les montres. Puis arrêtez la conversation, allez aux toilettes, ou prendre à boire en lui proposant s’il (elle) souhaite quelque chose. Mais pourquoi partir, alors que vous commenciez à apercevoir les préludes d’une nouvelle amitié ? Pour deux raisons, pour ne pas paraitre « lourd » ou « bizarre » et que cela ne devienne pas une forme de harcèlement, juste parce que vous êtes seul, ça serait dommage…
Ensuite, revenez et attendez. Si votre interlocuteur ne vous pose pas de questions. Repartez à la charge afin qu’un silence de mort ne s’installe pas entre vous, et de ne pas vous transformer en Rémi sans amis. Le but c’est de discuter, n’est-ce pas ?
Alors, comment repartir sur un sujet intéressant ? Tout simplement en parlant du fait que vous soyez rassemblés avec d’autres personnes dans un même lieu, c’est-à-dire dans ce cas un mariage, et là vous avez le choix du sujet : les mariés, le décor, comment vous connaissez les mariés ? etc… Rajoutez une petite pincée (légère) d’humour de temps à autre. Rappelez-vous que vous n’êtes pas à un enterrement, et donc vous êtes là pour vous amuser. Ensuite, vous verrez que selon l’orientation de votre discussion, cela vous emmènera vers d’autres domaines qui sortiront sans doute du mariage, par exemple votre ou le travail de votre interlocuteur.
Il y a une chose importante que je dois vous dire ; laissez la personne parler et faite de courtes interventions si nécessaires, car comme je l’ai écrit plus tôt; nous adorons parler de nous-mêmes. Et vous verrez que si vous êtes sur un sujet que cette personne apprécie, la plupart du temps elle continuera à parler, et sans doute qu’elle vous posera aussi des questions et s’intéressa à vous aussi.
Ben voilà, bon ce n’est pas la recette ultime pour ne pas être un Rémi, mais ça devrait fonctionner, au moins, une partie ou toute la soirée. Et une autre chose primordiale ; qu’on vous parlez à quelqu’un, comme Dale le dit, intéressez-vous sincèrement à ce que la personne vous dit. J’ai vu beaucoup de conversations où les gens font semblant de s’intéresser à l’autre, ça donne des choses catastrophiques. Un exemple posez une question et regarder ailleurs pendant que l’autre prend le temps de vous répondre (c’est aussi très mal élevé). Dès que la personne remarquera cela, elle va fuir et vous retournerez à la case Rémi sans amis. En plus, cette personne gardera une mauvaise image de vous, et vous ne savez pas ce que vous réserve votre vie future…
Un autre point, si vous ne connaissez pas ou peu le sujet que vous avez abordé, et si la personne en connait plus que vous, posez-lui des questions, elle en sera ravie.
For the finish, comme je l’ai dit dans l’article précédent on apprend beaucoup de choses en écoutant les autres. Dernièrement, en écoutant quelqu’un, j’ai pu connaître Cuba sans voyager, n’est-ce pas Formidable !
Et Voilou ! Un article un peu long, mais que j'ai trouvé très intéressant à développer, j'espère que vous aussi, vous l'avez apprécié. Je vous dis à bientôt !
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Thème 10 : Vivre l’instant présent est-il important ?

« Il est certain que le plus sûr moyen de connaître le bonheur serait de contrôler nos pensées. La félicité ne dépend pas des conditions extérieures, elle est régie par notre attitude mentale. »
Carnegie, Dale. Comment se faire des amis (Psychologie et Développement personnel t. 508) (French Edition). Le Livre de Poche. Édition du Kindle.
Dans un de mes articles, je vous ai parlé du fait de vous adapter en permanence afin de mieux vivre votre situation actuelle ou passée. Cela est très important, car si vous restez constamment dans le passé celui-ci vous freinera et être tout le temps dans le futur, cela vous rendra anxieux. Je pense qu’il est important la plupart du temps de vivre l’instant présent.
Lorsqu’il faut penser au passé pour une question de travail ou de régler un problème du présent faites-le. C’est pareil pour le futur pensez-y au moment il faut, le reste du temps restez dans le présent et faites ce que vous avez à faire. Je suis actuellement en train de lire un livre qui s’appelle : Devenir super conscient de Joe DISPENZA. A un moment du livre, il parle de la manière dont on utilise notre énergie et comment parfois on la gaspille. En gros, lorsque vous pensez tout le temps au passé, vous utilisez de l’énergie, lorsque vous pensez tout le temps au futur c’est pareil.
Je vais prendre un exemple concret afin que vous puissiez mieux comprendre.
Vous vous êtes tous levés un voir des matins en pensant au passé ou au futur, avec sans doute des maux de tête + doliprane etc... Afin de combattre cela vous avez peut-être essayez de contrer ses pensées en lisant un livre, une vidéo sur internet voir un ami qui vous dit : « La vie est belle ! t’en fais pas, ça va aller, il y a pire que toi ! » Mais vous vous êtes rendu compte que cela ne fonctionnait pas… Pourquoi, car l’une des raisons avant d’écouter ces personnes vous avez perdu énormément d’énergie au réveil, donc vous vous êtes déjà quasiment déchargé votre « batterie ». Remarquez cela, en pensant au passé ou au futur ou les deux en même temps pour les plus « malchanceux » votre cerveau utilise de l’énergie pour ces réflexions et donc tout le temps que vous prenez dès le réveil à y réfléchir va vous pomper de l’énergie, c’est pour cela que lorsque vous n’êtes même pas encore arrivé au travail votre niveau d’énergie est déjà bas et vous n’avez plus de jus. Ce qui a un impact sur l’envie pour faire les tâches qu’on vous demande, Votre seul souhait c’est de retourner à la maison vous coucher et repenser à votre « Super passé » ou votre « Utra futur ».
Alors, je ne dis pas que vous ne devez pas réfléchir à vos problèmes qui sont liés à votre passé ou votre futur, mais plutôt vous dire : « Actuellement, maintenant, donc dans le présent que puis-je faire pour régler ces problèmes ? Et surtout si j’y pense maintenant, est-ce que c’est le bon moment ? Est-ce que je ne devrais pas me concentrer sur autre chose ? Donc tout simplement vivre l’instant présent. Vous rendrez compte peut-être que ce n’est pas le moment, car en y pensant maintenant, vous n’y changerez pas grand-chose et qu’il faut laisser ces réflexions pour plus tard, a un moment que VOUS aurez choisi et NON votre pensée.
Et voilà mes chers lecteurs le dixième article concernant ce livre de Dale CARNEGIE. Comme je l’ai déjà écrit pour les autres ouvrages sur ce site, ce n’est que le début du livre et des extraits que j’ai choisi, il vous reste d’autres choses intéressantes à lire. Et si ce livre vous intéresse voici un lien afin que vous puissiez l’acheter juste ( ici )
Je vous dis A+
Sommaire :
- Thème 1 : Raconte-moi une histoire.
-Thème 2 : Pourquoi est-il important de comprendre et s’entendre avec nos semblables ?
- Thème 3 : De quelle manière brillez-vous ?
- Thème 4 : Il faut savoir raison garder.
- Thème 5 : Le pouvoir de l’enthousiasme !
- Thème 6 : L’importance d’être bien entouré dans la vie.
- Thème 7 : Soyez congruent, sinon…
- Thème 8 : Le savoir est en tout Homme et toute chose sur terre.
- Thème 9 : Pourquoi devriez-vous vous intéresser sincèrement aux autres ?
- Thème 10 : Vivre l’instant présent est-il important ?
Bonjour, tout d'abord je vous prie de bien vouloir m'excuser pour la réponse tardive. J'ai eu un souci informatique qui m'empêchait de répondre.
Afin de répondre à votre question, pouvez-vous être plus explicite ? svp
A bientôt !🙂
Bonjour @lesfody. Je lis vos articles dans les thèmes ainsi abordés pour chaque livre vraiment enrichissants. Concernant votre point de vue sur le thème 7 de "Comment se faire des amis" de CARNEGIE DALE, ne serait-il pas plus sage de différencier le message du messager ? Bien sur nous ne pouvons l'appliquer à tous les messager.
Cordialement.